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  • Pauline Vernet

Fluidité après le choix




Ce n'est pas parce que ce que tu as décidé de faire ne se déroule pas de manière fluide qu'il ne faut pas persister.


▫️Et persister ce n'est pas se battre, mais plutôt s'impliquer d'une manière qui nous parait juste afin que l'expérience puisse exister.


Je remarque que bien trop souvent, on peut s'imaginer que dès lors qu'on a fait un choix, si tout se déroule comme sur des roulettes alors on se dit que c'était LE BON choix.

Sinon, si ça se déroule de manière un peu chaotique et qu'il y a des résistances, alors c'est qu'il y a un problème et qu'on s'est loupé quelque part ... Ou tout simplement qu'il vaut mieux arrêter dès maintenant pour ne pas faire empirer notre « peut-être » mauvais choix.


De mon point de vue, ceci n'est pas une vérité figée.


👉🏼Lorsqu'on va dans la matière, lorsqu'on commence à faire des choses (et pas seulement les imaginer, les écrire ou encore juste d'y penser très fort hein 😏) alors un nombre incalculable de mouvements vont pouvoir se créer suite à notre première action concrète. Et dans ces mouvements, ces vagues dues à notre prise d'action, il y en a bien souvent qui ne paraissent pas fluides, ni simples ou qui peuvent être traduits comme une difficulté.


📣Soyons clairs : Quand on ne fait rien, alors rien ne se passe. L'absence de mouvement ne signifie pas que c'est fluide.


Dès lors qu'on rentre dans une nouvelle expérience après avoir fait un choix, alors de nouvelles choses vont être amenées à se vivre.


Après un choix ce n'est pas la fin, c'est le début d'une expérience.


💠Même si l’on peut souvent croire que le plus difficile est de faire un choix, en réalité ce sont les actions faites suite aux choix qui peuvent challenger réellement.


Vidéo/Art by: @paarsec

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